Qui Es Tu ?

Qui es-tu ?

Oui, qui es-tu, toi Jéhovah ?

Cette question, plus d’un homme, se l’ont posé. Certains très orgueilleusement ne voulant pas te reconnaître, toi et ton autorité ; d’autres “puissants” ont instinctivement reconnu ta grandeur, ta puissance, ta sagesse, et se sont mis à te louer, reconnaissant être bien plus petit que toi, vraiment plus petit que toi.

D’autres se refusent à toi, volontairement et d’aucuns refusent carrément ton existence.

Pour moi, tu es réel, tu es… ni plus ni moins. Pas fioritures, pas de blabla. Rien ne peut te définir avec plus de certitudes que la Foi, l’Amour, et aussi l’Espérance.
Je n’ai aucun doute que tu es Grand, mais d’une grandeur que je ne peux même pas concevoir, juste à peine entrevoir. Est-ce que j’ai peur de toi ?
Non ! Certainement de te décevoir, mais peur de toi : non !


Tu es Puissant, mais tu l’es forcèment, car quelle force faut-il pour imaginer un futur qui n’existe pas encore, il y a des millions d’années, quand tu étais tout seul, auto-suffisant, sans avoir besoin de rien…
du moins des “rien” que l’on connaît ou l’on peut imaginer, voire essayer d’imaginer. Et, parmi ces “rien”, il y a entres autres moi, un “petit rien”.

Qui tient un tant soit peu à toi, quitte à tout perdre… volontiers. Même ma vie, ici, sur Terre. Pour être encore plus prêt de toi, plus proche…
Je ne rêve pas de grandeur, ici ou là ; moi, mon rêve au plus profond de mon être est d’être encore plus près de toi, te toucher “physiquement”, mais aussi dans ton Être, complétement absorbé par ton Amour. Non, pas être annihiler par toi, mais être constamment avec toi, si proche que je veux me laisser constamment éblouir par toi, ne rien voir d’autres que toi et marcher côte à côte, ensemble.
Vas à droite, j’y vais. Vas à gauche, je viens. Vas ici ou là, me voilà !


Oui, quelle Force faut-il pour transcender ce futur, encore à venir, l’assurance de ta volonté. Nous nous avons la force de notre foi, pour nous efforcer à te suivre, marcher dans tes pas, toi qui constamment nous lèvent et nous relèvent. La Force de l’Amour, assurément.
Toi, tu as la Force de tout !

Par amour, tu as créé tout l’Univers pour que nous l’humanité vivions sur cette petite bille bleue. Ce n’est pas de la vanité, d’aucuns préfèrent le croire… plutôt que croire en toi. Ils vont même jusqu’à se déclarer humaniste, déifiant l’homme à ta place. Et la Science. Vraiment !
Oui, l’homme maîtrise la Science, croit tout savoir, sur tout, se trompe beaucoup et surtout tient à démontrer que tu ne peux pas exister. Et lui de croître… sans toi. Car l’homme résoudra tout. Vraiment ?


Mais que sont les mathématiques et les lois qui régissent l’Univers et qui dépassent notre entendement, notre compréhension, nos manifestes, et même celles de ces humains soit disant supérieurs car comprennant mieux la question de l’Univers que nous autres, pauvres quidam qui ne comprenont à rien, et surtout pas de leur savoir.
Ils veulent bien reconnaître qu’il a fallu une force immensément puissante. Ils connaissent pourtant la maxime “action, réaction” mais ne veulent, ni ne peuvent te l’appliquer, muets, sourds à ton encontre.


Par amour de l’humanité, tu as laissé ta Justice s’exprimer pour permettre la réalisation d’un véritable futur possible où l’humanité entière vivante, obéissante, pour être pleinement heureuse, en harmonie avec la planète, mais surtout avec toi. L’obéissance : quel vilain mot pour certains, surtout quand tu en es le destinataire.
L’obéissance implique la fidélité, et la reconnaissance.
Certains diront idéal, irréaliste, et surtout seulement par l’homme… qui ne fait qu’emporter sa bassesse, partout où ils passent, l’instint d’assouvir son pouvoir, sa richesse, et… son auto-suffisance.

Reconnaître que tu es, que tu as été, que tu seras, fondamentalement nous dépasse, du fait de notre incompréhension de beaucoup. Mais nous pouvons reconnaître l’auteur merveilleux que tu es, l’artiste facécieux que tu es, le créateur extrêmement intelligent que tu es. Il n’y a qu’à s’émerveiller, voire au-travers de tout, ce regard que tu as porté sur tout, et que tu continues de porter sur tout.

Reconnaître qui tu es implique de la reconnaissance, l’appréciation gratuite et pleine d’amour de ton acte créateur, de ton amour à notre égard, de ton intérêt à nos biens communs. Y’a-t-il besoin de lire ta Parole pour avoir, faire preuve, éprouver de la reconnaissance ? Bien-sûr que non, le Livre de l’Artiste, l’acte qui sublime nos yeux, jusqu’à nous aveugler de tes réalités suffit. Tout ce qui nous entoure étale majestueusement qui tu es, toi l’invisible. Mais loin des yeux ne veut pas dire loin du cœur, loin s’en faut et heureusement. Mais il faut du cœur pour ressentir vraiment ce que tu es, qui tu es, ce que tu as fait : Les yeux du cœur !


Tout autour de nous, tu laisses constamment une trace, la preuve “A + B = C”. L’homme ne veut pas s’en satisfaire car il n’a pas la connaissance et encore moins la reconnaissance… quant à ce qui est de la force, même s’il lui semble maîtriser l’infiniment petit, il l’est sans, face à l’infiniment grand. Il est même sans voix, tellement c’est époustouflant, vertigineux, entêtant ; de toute façon, “personne ne t’entends crier dans l’espace”, n’est-ce pas !
Cet espace où toi tu es…

Et, cette force immensémment puissante, capable d’intervenir partout, où tu le souhaites, instantanément… voire à se demander si tu n’es pas capable de réécrire l’histoire, même si tu ne le cherches pas. Ce qui est fait, est fait. Et toi, tu en as fait de belles œuvres, assurément.
Quelque chose me dit que si tu es éternité dans un sens, tu l’es assurément dans l’autre ; et si tu es de toute éternité, tu l’es dans tous les sens du terme, et dans toutes les directions, même si cela nous échappe.
Alors oui, quelqu’un comme toi, qui es de toute éternité puissante, peut assurément remonter le temps, franchir les barrières des espaces et des temps. Mais tu nous as fait, et fait avec quelque chose de précieux : le libre arbitre.
Ce même libre arbitre, qui empêchent plus d’un dans l’immensité de leur orgueil et dans les vélleités de celui-ci à te reconnaître, voire te connaître.

Ce fameux libre arbitre est un don, un art que tu nous as distillé au plus profond de nous, comme la conscience, et pour lesquels tu as un profond respect. Un si profond respect qu’il est possible que tu t’empêches même d’user de certaines de tes prérogatives à notre égard. Dont celle de pouvoir remonter le temps, puisque tu es de toute éternité. Car le faire et agir dans le temps serait nous refuser ce libre arbitre, serait l’annihiler, annihilant par la même ton don d’amour. Ce n’est pas concevable, car telle es ta justice à notre égard. Nous respecter.

Au-travers de ta parole, tu nous montres que tu use de tes capacités toujours pour notre futur, autant si nous voulons bien accepter et se laisser guider. Et, oui, le fameux respect de notre libre arbitre. Tu as ta propre volonté, un dessein, et très certainement une histoire. Mais c’est avec ta création que tu tiens à faire l’histoire, ton histoire. Quand à notre histoire, si nous le voulons bien, elle se mélange intrinséquement avec la tienne, pour notre grand bien. Car ton respect est la marque de ton amour, tout comme l’ensemble de la création est la marque de ton amour. Intrinséques, intriquées… imbriquées !


Jusqu’au jour où tu diras “stop”. Toi, tu pourras continuer d’exister. Et nous ? Tu nous as averti, dans ta Parole ; d’aucuns l’ont vicié, lui rendant de très mauvais services, tout comme cette Terre finit par être viciée de l’instint destructeur de l’humanité. Cette humanité guidée.
Non pas, auto-guidée comme elle se plairait à le croire, mais téléguidée, par un puissant opposant, plein de haine, tellement de haine, que non content de pouvoir te détruire, car il ne le peut, vue ta toute puissance, il s’est insurgé à vouloir tout détruire, et tout particulièrement nos pauvres petites âmes pour ne pas te reconnaître, surtout…
ô grand surtout, si nous faisons “l’erreur” de vouloir nous laisser guider par toi, ton amour, ton autorité, tes préceptes de vie. Alors là, c’est le terrible déchaînement de fureur pour corrompre l’esprit, nos esprits, nos amours.

Des pressions difficilement supportables. Encore plus insupportables que la fin des jours s’avance. La fin de ses jours, des siens. Mal avisé, malavisé.
Toujours sans compter sur ton amour, mais en comptant bien sur ton sens de l’équité, de la justice, pas à son égard, car s’il pouvait s’échapper, il le ferait. Non, celui t’interdisant d’influer directement sur les activités humaines. Directement. Prouver qu’il a absolument raison, quitte à tout perdre avec lui, tout détruire !
“si ce n’est pas à moi, cela ne sera à personne !”


L’humanité dans sa grande sagesse ne peut même pas imaginer cette folie meurtrière, car croire en toi, voire en ton opposant qui les dirigerait est une folie de l’esprit. Impossible, cela ne peut exister !
“Il n’y a pas plus aveugle, que celui qui ne veut pas voir”.
Te voir serait te reconnaître, serait reconnaître ton existence, ta réalité mais aussi sa réalité. Or vous êtes “invisible” à la science, donc vous ne pouvez pas exister. CQFD.
“Mais attends, deux secondes s’il-te plaît !”

Mais les forces invisibles à nos yeux, à nos sens, il y en a pléthore, si je ne me trompe. Certaines sont des ondes, d’autres des champs, certaines autres faites d’autres choses encore, que je ne peux décrire ni écrire, faute de compréhension de la science. Mais ce n’est pas parce que je ne comprend pas, que ça n’existe pas. Je ne comprends pas ce phénomène d’onde qui selon la variation de l’onde donne une couleur, un son, intrinséquement lié, restitue une intensité de lumière… une onde porteuse de tellement de sens, dont certains sens nous échappent, n’existent-ils pas alors ?!


Certains diront : “c’est mathématique, comme un et un font deux, etc” arguant, prouvant par toutes les thèses et les anti-théses l’impossibilité de ton essence si particulière.

Parlons de ces mathématiques que je connais si peu… mis à part, peut-être 0 et 1, qui régit tout un univers, très mathématique d’ailleurs.
Voire électrique, et même informatique. Énormément de systèmes régient par ces nombres binaires.

Quelles lois mathématique faut-il pour régir un ensemble et assurer sa cohésion, son interaction, son système de vie. Beaucoup. Et, il faut assurément beaucoup d’intelligence pour concevoir. Or, notre propre intelligence nous permet de recopier très difficilement tout ce qui nous entoure. On parlera de niveaux de science, qui permettent l’acquisition de l’infiniment petit, permettant la miniaturisation.

Parlons non pas sur du binaire, mais osons le mot, la “quaternité” de l’ADN du génome : le fameux groupe des 4 molècules qui forment des milliers de gènes, par combinaison de paires, grâce à l’hydrogène, base de la vie, si répandu, même à des doses infimes dans le diffus de l’immensité spatiale. Et, n’abordons même pas le monde des “réalités” quantiques, absolument “invisibles”… “Mais dans quel état j’erre…”


Dans la nature, il y a pléthore de système qui nous échappent complétement. Des systèmes infiniment petits, des systèmes infiniments grands, des distances toutes aussi folles dans le petit et dans le cosmos, que même la science humaine ne peut atteindre, voire espèrer atteindre, et surtout pas dans des délais humainement concrets, et encore moins dans l’instance d’une vie, voire la momentanéité de celle-ci, divinité totalement diluée dans sa science.

Tout cela est si réel !
Que des mathématiques ?

Et, ils tiennent à nous faire croire que tout cela est apparu, sans aucun cerveau, aucune intelligence conceptrice capable d’imbriquer des mathématiques à un haut degré, un niveau de perception qu’on ne peut même pas entrevoir. Certes notre science humaine nous fait repousser certaines frontières du connu et de l’inconnu, mais… et de toi : réellement !?
Ils te repoussent, mais toi : non. Constamment tu les appelles, les rappelles, leur demandant d’utiliser leur raison, la raison, là où ils ne voient que déraison, folie, ne comprenant pas, ne voulant pas, ne pouvant pas comprendre. Notre science humaine n’arrive pas à ta hauteur, loin s’en faut.


Qui es-tu toi cet esprit qui est capable de comprendre et de gérer toutes ces mathématiques ? Qui est le fondement de ces sciences sur lesquelles se poser, se reposer ? Quelle est la profondeur de ton intelligence, capable de comprendre les niveaux intrinséques à toute cette science qui nous échappent !?
Cela ne peut exister… c’est impossible.
C’est si imaginable… que cela ne peut pas être.

Mais alors qui es tu ?
Un esprit immatériel avec une intelligence hors du commun, un sens inné hors de notre commun que nous ne pouvons concevoir qu’au-travers de tes actes créateurs, car ta conception même nous échappe complétement et nous échappera toujours. Un sens inné et des qualités que tu nous as transmis ? Voire la création avec tes yeux, ton regard !
Donne moi tes yeux pour que je vois toi. Que je sois fier de l’être que tu es. Que je sois fier de connaître l’être que tu es. Que je sois fier d’être avec toi et de reflèter tes qualités, même si à côté de toi, ce ne sera toujours qu’infiniment “rien”.


Alors tu es tout. Je suis rien. On était fait pour se rencontrer ; même si moi, je fais partie de l’ensemble de ton acte libérateur, ta création. Rencontre du troisième type avec son créateur est-ce une rencontre avec son tout !? ou est-ce tout ou rien ?!
Ce qui m’es sûr, c’est que moi, je veux être tout… tout près de toi, tout contre toi, envahi de toi, t’aimer toi, car tu es et tu seras toujours de toute éternité. Et, moi, à tes côtés, je continuerais d’apprendre à aimer, rêver, respirer une réalité merveilleuse, une espérance aboutie.

Être comme toi, comme ce premier fils unique-engendré, ton reflet parfait qui t’as aimé et continue à t’aimer. Non pas être un calque du moule…
Être parfait, reconnaissant ta volonté, se laissant guider et inspirer.
Un seul a dû se sacrifier pour faire ta volonté, contre cet opposant. Un seul : c’est pour certains bien peu, voire un “rien de peu” ; mais dans ta justice, c’est beaucoup, car si toi tu as donné la vie, lui la rend !
Il a rendu sa vie… pour beaucoup ; et ça te permet d’accomplir beaucoup.
Par justice, tu avais besoin de ce sacrifice pour apporter une réponse à l’une des actions de cet opposant de mort. Rétablir la vérité sur ton nom, sur ta création, et le but de ta création contre la première et principale action de mort de cet opposant, farouche et destructeur.

Être parfait, c’est ce que ton premier fils unique-engendré a toujours était, quelque soit son essence. Être parfait fait partie des beaux cadeaux pleins d’amour que tu nous fais. Cet opposant nous l’a arraché par la ruse de son intelligence et la faiblesse d’amour dont il a fait preuve dès le début de sa rebellion.
Meneur de vie versus meneur de mort.
Être parfait signifie fidélité, reconnaissance, obéissance.
Être parfait voilà ce que je vais devenir, avec ta bénédiction, ton aval, ton soutien afin de mieux t’obéir, te soutenir, te reconnaître.


Par amour, tu as tout fait pour notre bien commun.
Par amour, ton premier fils a tout fait pour notre bien commun.
Par amour, je veux tout faire pour notre bien commun ; car faire ta volonté n’est pas m’asservir, mais te servir avec plaisir, et te louer, même si c’est un peu de rien, c’est beaucoup à mes yeux, et aux tiens.
Voire au-travers de tes yeux, ta création, ton action, ta volonté.
Une beauté artistique inimaginable. Mais tu es tellement de toute beauté que tu rends l’impossible imaginable, et la réalité concrète…
Tu as ce pouvoir sur toute chose, toute essence et même si pour nous c’est inimaginable, pour toi ce n’est rien que l’étincelle de ta volonté.
Et ta volonté perdura car elle est aussi éternelle que tu ne l’es.

Tu es de toute force, tellement de force que tu pourrais absolument infliger ta volonté, ta toute puissance mais tu n’es pas cela. Ta puissance se dilue dans ton Amour, ton Amour dans ta Sagesse, ta Sagesse dans ta Justice.
Toutes sont puissamment imbriquées les unes dans les autres et nous ne pouvons pas comprendre l’immensité du fait. Quand bien même, tu nous donnerais les mathématiques adéquates, nous ne pourrions non pas plonger dans les profondeurs de celles-ci, mais tout simplement en atteindre les profondeurs. Non pas que les bords soient flous, mais ils sont tout aussi immenses et puissants que l’es tout l’être que tu es.
Quand bien même au-delà de la science et l’éternité, cela ne sera pas assez suffisant pour appronfondir de toi et de l’immensité de tes qualités, toutes tes qualités, celles majeures et celles qui en découlent abondamment.

Je suis même prêt à parier qu’il y a quantités de qualités que l’on ne peut nommer, car on ne peut les comprendre. Apprendre de toi profondément.
C’est ce que ton premier fils unique-engendré a fait auprès de toi, le temps d’un certain temps, dilué dans le temps, inaccessible temps immémorial pour nous pauvres petits êtres humains, qui avons bien du mal à comprendre exactement ce qu’est le temps, si ce n’est “il fit les astres pour les frontières du jour et de la nuit”, fixant à la fois l’espace et le temps.


Dans ton amour, tu te laisseras découvrir et effeuiller, tu nous laisses déjà soulever le pan de ton vêtement de sainteté. Car s’il est une assurance est bien celle de ta sainteté. Tu ne connais pas le mal car tu ne l’éprouves pas, ni ne l’approuves.
“Saint, saint, saint est Jéhovah. Qui est comme Jéhovah ?”
Oui, qui es-tu Jéhovah ?

Certainement bien plus que tout ce que je me suis efforcé de poser sur cette planche de papier virtuelle. Assurément bien plus.
Ce qui m’est sûr, c’est que tu es ma vie, mon amour, mon essence de vie, et que je ne veux voir la vie qu’au-travers tes beaux yeux d’amour.
S’il en est que tu aies des yeux ;-)


Voilà une ébauche bien fine, d’une conception très étroite, limitée, un temps, par un “petit bout” de rien, un “rien”, à temps, pour être avec toi, pleins d’émois, par choix, par volonté. La tienne, la mienne.


Stéphane HUC
du 1er au 2 août 2021,
très tard dans la “nuit étoilée, reflet de ton regard velours et velouté”
Dédié certes à Jéhovah, mais aussi à ma fille qui a découvert dans la journée ce qu’est “voir dans tes yeux”. Love. :D


À méditer :

⇒ Cette magnifique vidéo : La création révèle l’amour de Jéhovah

Puis Dieu dit : « Qu’il y ait des astres dans l’étendue du ciel pour séparer le jour et la nuit. Ils serviront de signes pour les saisons, ainsi que pour les jours et les années. 15 Ils brilleront dans l’étendue du ciel pour éclairer la terre. » Et cela se passa ainsi. 16 Dieu se mit à faire les deux grands astres : le grand pour briller pendant le jour et le petit pour briller pendant la nuit. Il fit aussi les étoiles. 17 Ainsi Dieu les mit dans l’étendue du ciel pour éclairer la terre, 18 pour briller pendant le jour et pendant la nuit, et pour séparer la lumière et l’obscurité.

Quand je vois tes cieux, les œuvres de tes doigts,la lune et les étoiles que tu as préparées

que tous sachent que toi, dont le nom est Jéhovah, tu es, toi seul, le Très-Haut sur toute la terre !

En effet, les yeux de Jéhovah parcourent toute la terre, car il veut montrer sa force en faveur de ceux qui ont un cœur entier pour lui

Le ciel appartient à Jéhovah,mais la terre, il l’a donnée aux fils des hommes.

Car la colère de Dieu se révèle du ciel contre tout manque de respect envers Dieu et toute injustice des hommes qui étouffent la vérité injustement, 19 car ce qui peut être connu de Dieu se manifeste clairement à eux, parce que Dieu le leur a montré clairement. 20 En effet, ses qualités invisibles, oui sa puissance éternelle et sa Divinité, se voient clairement depuis que le monde a été créé, parce qu’elles se remarquent dans les choses qu’il a faites. Ils n’ont donc aucune excuse. 21 Car, bien qu’ils aient connu Dieu, ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu et ne l’ont pas non plus remercié, mais leurs raisonnements sont devenus absurdes, et leur cœur insensé a été plongé dans les ténèbres. 22 Bien qu’ils se prétendent sages, ils sont devenus stupides 23 et ils ont remplacé la gloire du Dieu impérissable par des représentations de l’homme périssable (…)

En effet, puisque le monde, en s’appuyant sur sa propre sagesse, n’est pas parvenu à connaître Dieu, il a paru bon à Dieu dans sa sagesse d’utiliser la stupidité de ce qu’on prêche pour sauver ceux qui croient.

Que personne ne se trompe lui-​même : si quelqu’un parmi vous pense être sage dans ce monde, qu’il devienne stupide afin de devenir sage. 19 Car la sagesse de ce monde est stupide pour Dieu ; en effet, il est écrit : « Il attrape les sages à leur propre ruse. » 20 Et aussi : « Jéhovah sait que les raisonnements des sages ne valent rien. »

Prenez garde que personne ne vous fasse prisonniers au moyen de la philosophie et d’une vaine tromperie fondées sur la tradition humaine et sur les choses élémentaires du monde, et non sur Christ.


Voir aussi l’ensemble du :


Pourquoi cet écrit ?
La réponse est écrite dans :

Exprimez votre reconnaissance pour tout

Je te loue en voyant de quelle manière redoutable et merveilleuse je suis fait. Tes œuvres sont prodigieuses, je le sais parfaitement.

Et jour et nuit, elles disent sans arrêt : « Saint, saint, saint est Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant, qui était et qui est et qui vient. »

« Tu es digne, Jéhovah notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance, car tu as créé toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles sont venues à l’existence et ont été créées. »